dimanche 30 mai 2010


Samedi le 29 mai un autobus scolaire se dirigeait vers le Collège André Grasset à Montréal. Cet autobus qui amenait les femmes du Cercle et leurs amies ne payait pas de mine, tout de jaune qu'il était. Tout de même, les sièges étaient rembourrés et l'ambiance bon enfant qui y régnait à l'intérieur compensait largement pour sa modeste apparence.
Nous avons été séduites par la beauté, la qualité et la variété des courtepointes exposées. Leurs styles allaient du traditionnel au comtemporain.
Chacune est repartie avec, s'il est encore possible d'en ajouter, encore plus de projets en tête. Quelques-unes ont fait des achats car il y avait plusieurs commerçants en pourtour de la salle.
Avant de quitter la métropole, nous sommes allées manger au restaurant "Côté soleil" sur la rue Saint-Denis et le repas fût exquis.
Merci à toutes celles qui donné de leur temps pour l'organisation de cette sortie, en particulier à Lise Caouette-Mongrain et à Ginette Léveillé.




lundi 17 mai 2010

Tavibois de nos amours







Quelle formidable fin de semaine nous avons passé à Tavibois à apprendre certaines techniques d'embellissement et de patchwork généreusement dispensées par madame Louise Gagnon.

Tout concordait à l'harmonie et à la bonne humeur générale: le décor bucolique, l'entrain que je qualifierais même d'infernal de certaines, les veillées et les déjeuners en pyjama, le désir d'apprendre, l'enthousiasme du professeur. Jugez-en vous même: apprentissages variés, bons repas, jeux de carte, taï-chi, promenades en forêt et surtout un tour de salle le samedi matin avec la présentation de chacune et les motifs qui les ont menées aux arts textiles. La simplicité et l'ouverture de chacune nous ont à la fois captivées et émues.

Je pense que chacune est repartie les batteries rechargées pour l'énergie et pour le coeur des amitiés nouvelles ou renforcées. De plus, la salle est réservée pour la même fin de semaine pour l'année prochaine!

mardi 11 mai 2010

Aujourd'hui 11 mai, voici deux messages


Bien oui, je me reprends, le site étant resté silencieux à cause d'Eyjafjöll...
Il a le dos large le volcan islandais mais c'est quand même la vérité car je suis restée plus longtemps que prévu en Écosse et le blog s'en est ressenti puisque l'annonce de notre rencontre mensuelle était pour le mois d'avril!

Vous aurez donc aujourd'hui deux messages au lieu d'un seul.
Le travail sur le projet "Des Carreaux et des mots" qui consiste à fabriquer une courtepointe par équipe sur le thème de la chanson de Félix "Notre sentier" continue lentement mais sûrement. Nous en sommes rendues au piquage par équipe. J'ai le goût de vous présenter une équipe qui a bien fait ses devoirs puisque le compte-rendu de leur travail est présenté de façon très élégante avec photos à l'appui. Les membres de cette équipe: Michelle Fournier, Christiane Lafrenière et Francine de Serres . Elles ont utilisé la technique mosaïque ou timbre-poste. Leur conclusion: "Un des buts poursuivis est atteint, permettre à trois inconnues de se lier d'amitié et d'échanger sur d'autres projets et/ou sujets... On apprend, on se réalise, on fraternise, c'est magique!"

Des projets, toujours des projets...


À la réunion d'hier les femmes sont encore parties en galère, une galère bien joyeuse en fait puisque nous allons habiller de tricot des arbres et des structures du Musée québécois de culture populaire. Avez-vous déjà entendu parler de graffiti-urbain ou le graffiti-tricot. Cette mode gagne du terrain ainsi bien en Californie (d'où tout part) qu'à Tokyo ou à Paris (où elle gagne lentement du terrain). Sachez que Trois-Rivières ne sera pas en reste grâce à une initiative de notre musée. Madame Gaëlle Joly, stagiaire au Musée, a contacté notre Cercle pour trouver des volontaires tricoteuses ainsi que des femmes pouvant enseigner le tricot à des adolescentes par le biais des maisons des jeunes et la réponse, généreuse comme à l'habitude, est venue.

Nous venions juste de fermer la saison des Fermières en cavale, sorte de happenings tricot dans des resto où les femmes tricotent des "trios pour un matelot", c'est-à-dire, foulard, tuque et mitaines à l'intention des marins qui débarquent à Trois-Rivières souvent mal préparés à affronter nos froids hivernaux.

Nous participerons donc à un projet amusant et artisitique où toutes les fantaisies sont permises pour notre plus libre expression. L'été sera douillet à Trois-Rivières.